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Das PMU-Wettgeschäft
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Samstag 12 April 17:52 Uhr
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Markus H

Themen: 9
Beiträge: 939

In Berlin war das Far Out am Adenauer Platz. Donnerstags und Sonntags Mega voll, weil die Studierenden Freitags und Montags nie in der Uni waren 🤣

Samstag 12 April 18:41 Uhr
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Nicolai Laaser

Themen: 30
Beiträge: 629
Markus H schreibt:

In Berlin war das Far Out am Adenauer Platz. Donnerstags und Sonntags Mega voll, weil die Studierenden Freitags und Montags nie in der Uni waren 🤣

Da war ich auch! :-) 

Samstag 12 April 18:48 Uhr
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Markus H

Themen: 9
Beiträge: 939

Da war draußen im Sommer mehr los wie drinnen...:)

Samstag 12 April 19:57 Uhr
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Carola Reckzeh

Themen: 15
Beiträge: 901
Nicolai Laaser schreibt:
Markus H schreibt:

In Berlin war das Far Out am Adenauer Platz. Donnerstags und Sonntags Mega voll, weil die Studierenden Freitags und Montags nie in der Uni waren 🤣

Da war ich auch! :-) 

Donnerstags nach dem Spätdienst😉

Sonntag 13 April 12:10 Uhr
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Gambler

Themen: 5
Beiträge: 2780
Markus H schreibt:

In Berlin war das Far Out am Adenauer Platz. Donnerstags und Sonntags Mega voll, weil die Studierenden Freitags und Montags nie in der Uni waren 🤣

Ach, war das in Berlin auch so ? Nicht zu vergessen, donnerstags spätestens um 14:00 Uhr Schluss damit man in GE zum ersten Rennen war.

Sonntag 13 April 12:28 Uhr
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Frascati

Themen: 1
Beiträge: 479

Gibt's in Gelsenkirchen Unis? Man lernt nie aus!

Sonntag 13 April 12:29 Uhr
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Frascati

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Beiträge: 479

Gab bestimmt auch eine in Katernberg! Studenten-Hochburg wahrscheinlich 

Sonntag 13 April 13:25 Uhr
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achim

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Beiträge: 794
Frascati schreibt:

Gab bestimmt auch eine in Katernberg! Studenten-Hochburg wahrscheinlich 

sind aber alle weg. hat einer aber damals schon prophezeit 

Sonntag 13 April 14:38 Uhr
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Gambler

Themen: 5
Beiträge: 2780

Von Katernberg zur Bahn dauert 5 Minuten. Dafür musste  man nicht um 14:00 Schicht machen. Aber um von Köln-Müngersdorf mit ÖPNV  zur Bahn nach GE pünktlich anzukommen, musste man schon früh genug los.

Sonntag 13 April 21:36 Uhr
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Loser

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Nun, ca.5 Km von Katernberg gibts tatsächlich ´ne Uni lieber Frascati.

Gehört nämlich zu Essen 🧐

Sonntag 13 April 21:49 Uhr
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Labido

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Beiträge: 1416

Warum sollte es die nicht geben?Mit einem der besten Krebszentren in Deutschland.Glaube kaum,dass die Hetzer hier jemals die Gelegenheit benoetigt haetten,sich nach einer Uni umzuschauen.

Mittwoch 30 April 08:18 Uhr
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High Roller

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Jeux : Les turfistes, aussi, en crise

Tandis que les professionnels ont lancé un cri du cœur la semaine passée dans les colonnes de ParisTurf à propos de la situation actuelle, les turfistes en ont également gros sur le cœur.

“J'ai divisé mes mises par 7 ou 8 ; cela devient quasiment impossible de gagner”, nous livrait il y a quelques semaines un pur passionné qui, depuis maintenant de nombreux mois, a tendance à conserver ses billets dans son portefeuille au lieu de les déposer au guichet d'un point de vente du PMU. Heureusement pour les ressources de la filière et de l'État, tous les turfistes ne procèdent pas à une diminution aussi drastique. Néanmoins, il est important d'entendre et d'écouter ce genre de messages. Car on ne parle pas ici de joueurs qui font confiance au hasard pour miser mais de turfistes chevronnés qui passent du temps à faire le papier pour tenter de réduire, justement, cette part de chance. Il n'y a pas que les entraîneurs de galop et de trot qui sont inquiets et impactés par la crise dans laquelle se trouve le PMU (les enjeux hippiques sur la journée de samedi ont atteint -13,5 % et -4,5 % dimanche, avec un cumul qui flirte avec les -5 % depuis le 1er janvier 2025) : les turfistes le sont aussi. Ceux envers qui l'ancienne direction assurée par Cyril Linette avait pourtant accentué les efforts afin de chasser au maximum les irritants. Inévitablement, si les paris hippiques du PMU peinent à séduire de nouveaux clients et perdent, par-dessus le marché, leurs fidèles parieurs, l'équation va vite devenir (trop) compliquée à résoudre. Or, quand les enjeux baissent, les masses à partager pour récompenser les gagnants diminuent également… “Il faudrait être aveugle pour ne pas voir à quel point les rapports ont baissé”, livre Eric Blaisse, ancien secrétaire général de l'Association Nationale des Turfistes (ANT) de 1997 à 2021. “J'étais encore en fin de semaine dans un point de vente et ce que j'entends, c'est que les parieurs en ont marre de miser pour toucher 1,10 € de rapport. Pour les Grands parieurs internationaux (GPI), c'est différent, car grâce aux ristournes qu'ils encaissent de la part des opérateurs étrangers chez qui ils valident leurs jeux, ils touchent bien plus, peut-être 1,23, 1,24 € au final, ce qui change évidemment la donne. Jamais de ma vie je n'ai entendu un turfiste réclamer de nouveaux jeux, ce que les gens veulent, c'est gagner plus.” Sinon le risque de se tourner vers d'autres formes de jeu augmente. Autre élément anxiogène : les baisses de cotes qui vont et qui viennent sur des gagnants, en particulier dans les courses supports du Quinté+. C'est encore arrivé pas plus tard que jeudi soir à ParisLongchamp avec le vainqueur, Laith“La baisse de cote observée est due à des paris importants passés dans les toutes dernières minutes avant le départ, à la fois par des grands clients français et par des grands parieurs internationaux, ce qui amplifie le mouvement de cote”, indique-t-on du côté du PMU sur ce point. Tous les paris passés respectent les plafonds d'enjeux. Il est important de rappeler que l'activité des GPI est fortement contrôlée et encadrée, que leurs enjeux sont plafonnés par pari et leur activité monitorée, permettant à PMU de s'assurer qu'ils respectent les règles.”

Sortir les GPI pour recréer de l'enthousiasme ?

“Je pense qu'à terme il va falloir se séparer des GPI, peut-être en procédant par étapes, comme cela a déjà été commencé en leur interdisant l'accès à la masse du Quinté+, poursuit Eric Blaisse. “Mieux vaut se couper la main que le bras… S'ils apportent des ressources à court terme, cela fait plus de dégâts sur la clientèle habituelle qu'autre chose. Je rajouterais en prime à propos du virage que l'institution veut prendre avec les paris sportifs, qu'elle prend à mon avis le mauvais chemin, car cela va nécessiter de dépenser des sommes colossales - certainement au détriment des turfistes - pour essayer de revenir un peu dans la course sur ce marché ultra-concurrentiel.” “Philosophiquement on peut comprendre depuis 10 ans le besoin de combler par les GPI des enjeux manquants, mais on arrive au bout du système, appuie l’entraîneur de galop et fin connaisseur du pari hippique, Julien PhelipponLes GPI ont tellement écoeuré les parieurs français... À mon sens, nous ne sommes qu'au début de la descente aux enfers.” Très active, la page Facebook de l'Association Nationale des Turfistes tranche avec la difficulté de rassembler pour peser davantage dans les débats et faire entendre les remarques des parieurs. Jusqu'à maintenant, malgré plusieurs essais – il y a eu l'Association des Turfistes de France (ATF) de Franck Scalier, le Mouvement des Parieurs ou encore la Fédération Nationale des Turfistes qui a décidé de fusionner avec l'ANT – aucune organisation en France n'est parvenue à regrouper un nombre suffisamment conséquent de turfistes pour faire bloc. Car c'est bien là aussi l'un des enjeux : tout le monde parle au nom des parieurs, mais que veulent-ils vraiment ? Y a-t-il une quasi-unanimité sur tel ou tel sujet ? Alors que le pari hippique est dans le dur, il semble crucial d'échanger afin de tenter d'identifier des solutions susceptibles de raviver la flamme.

 

Spiele: Auch Turfisten in der Krise

Während die Profis letzte Woche in den Kolumnen von ParisTurf einen eindringlichen Appell zur aktuellen Situation veröffentlichten, beschäftigen auch die Wettenden viele Dinge.

„Ich habe meinen Einsatz durch 7 oder 8 geteilt; es wird fast unmöglich zu gewinnen“, erzählte uns ein eingefleischter Enthusiast vor einigen Wochen. Seit einigen Monaten neigt er dazu, seine Tickets in seiner Brieftasche aufzubewahren, anstatt sie am Schalter einer PMU-Verkaufsstelle abzugeben. Zum Glück für die Ressourcen der Industrie und des Staates nehmen nicht alle Rasenbauern eine so drastische Reduzierung vor. Es ist jedoch wichtig, diese Art von Nachrichten zu hören und ihnen zuzuhören. Denn wir sprechen hier nicht von Spielern, die bei ihren Wetten auf den Zufall vertrauen, sondern von erfahrenen Wettenden, die Zeit damit verbringen, ihre Wetten vorzubereiten, um genau dieses Glückselement zu reduzieren. Nicht nur die Galopp- und Trabrenntrainer sind besorgt und betroffen von der Krise, mit der die PMU konfrontiert ist (die Einsätze bei Pferderennen erreichten am Samstag -13,5 % und am Sonntag -4,5 %, mit einer Gesamtsumme von fast -5 % seit dem 1. Januar 2025), sondern auch die Wettenden. Diejenigen, denen gegenüber die frühere Geschäftsführung unter Cyril Linette dennoch verstärkte Anstrengungen unternommen hatte, um Störfaktoren so weit wie möglich zu eliminieren. Wenn es dem PMU-Anbieter von Pferdewetten schwerfällt, neue Kunden zu gewinnen und er zu allem Überfluss auch noch seine treuen Wettenden verliert, wird die Gleichung schnell (zu) kompliziert und nicht mehr zu lösen sein. Wenn jedoch die Einsätze sinken, verringert sich auch der Geldpool, der zur Belohnung der Gewinner aufgeteilt wird… „Man müsste blind sein, um nicht zu sehen, wie stark die Auszahlungen gesunken sind“, sagt Eric Blaisse, ehemaliger Generalsekretär der National Association of Turfists (ANT) von 1997 bis 2021. „Ich war am Ende der Woche noch an einer Verkaufsstelle und habe gehört, dass die Spieler es satt haben, zu wetten, um 1,10 € Auszahlung zu bekommen. Bei den Major International Bettors (GPI) ist das anders, denn dank der Rabatte, die sie von den ausländischen Anbietern erhalten, bei denen sie ihre Spiele validieren, bekommen sie viel mehr, vielleicht 1,23 €, 1,24 € am Ende, was die Situation offensichtlich ändert. Noch nie in meinem Leben habe ich einen Spieler nach neuen Spielen fragen hören. Die Leute wollen einfach mehr gewinnen.“ Andernfalls steigt die Gefahr, dass man sich anderen Formen des Glücksspiels zuwendet. Ein weiteres beunruhigendes Element sind die sinkenden Gewinnquoten, insbesondere bei den Quinté+-Vorrundenrennen. Dies geschah erst am Donnerstagabend in Paris-Longchamp erneut mit dem Sieger Laith. „Der beobachtete Rückgang der Quoten ist auf hohe Einsätze zurückzuführen, die in den letzten Minuten vor Beginn sowohl von großen französischen Kunden als auch von großen internationalen Wettenden getätigt wurden, was die Schwankungen bei den Quoten verstärkt“, erklärte PMU zu diesem Punkt. Alle platzierten Wetten liegen innerhalb der Einsatzlimits. Es ist wichtig, sich daran zu erinnern, dass die Aktivitäten von GPIs streng kontrolliert und reguliert werden, dass ihre Einsätze pro Wette begrenzt sind und ihre Aktivitäten überwacht werden, sodass PMU sicherstellen kann, dass sie die Regeln einhalten.“

Die GPIs hervorholen, um neue Begeisterung zu wecken?

 „Ich denke, dass wir uns langfristig von den GPIs trennen müssen, vielleicht indem wir schrittweise vorgehen, wie es bereits begonnen wurde, indem ihnen der Zugriff auf den Quinté+-Pool verwehrt wurde“, fährt Eric Blaisse fort. Besser Hand als Arm abschneiden… Kurzfristige Ressourcen schaden der Stammkundschaft mehr als alles andere. Als Bonus möchte ich noch hinzufügen, dass die Institution mit Sportwetten den falschen Weg einschlägt, da sie enorme Summen ausgeben muss – sicherlich zum Nachteil der Wettenden – um in diesem extrem wettbewerbsintensiven Markt wieder ins Rennen zu kommen. „Philosophisch gesehen können wir verstehen, dass GPIs notwendig waren, um die Lücken bei den Einsätzen der letzten zehn Jahre zu schließen, aber wir haben das Ende des Systems erreicht“, sagt Julien Phelippon, ein Renntrainer und Experte für Pferdewetten. „Die GPIs haben die französischen Wettenden so angewidert … Meiner Meinung nach stehen wir erst am Anfang des Abstiegs in die Hölle.“ Die Facebook-Seite der National Turfists' Association ist äußerst aktiv und steht im Kontrast zu der Schwierigkeit, Menschen zusammenzubringen, die sich stärker an den Debatten beteiligen und den Kommentaren der Wettenden Gehör verschaffen. Trotz mehrerer Versuche – es gab die Vereinigung der Turfisten Frankreichs (ATF) von Franck Scalier, die Bewegung der Wettenden oder sogar die Nationale Föderation der Turfisten, die sich zu einer Fusion mit der ANT entschloss – ist es bisher keiner Organisation in Frankreich gelungen, eine ausreichend große Zahl von Turfisten zu einer gemeinsamen Front zusammenzubringen. Denn auch das ist eines der Probleme: Alle sprechen im Namen der Kunden, aber was wollen sie wirklich? Herrscht zu diesem oder jenem Thema nahezu Einstimmigkeit? Da sich der Pferderennsport in einer schwierigen Lage befindet, ist es wichtig, zu diskutieren und zu versuchen, Lösungen zu finden, die das Feuer wieder entfachen können.

 

29/04/2025 à 21:09

Quelle : https://www.paris-turf.com/actualites/france/jeux-les-turfistes-aussi-en-crise-30980597740

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